DC United-Montréal : Trois constats sur l’Impact
Des fois, quand ça ne marche plus, il faut faire confiance aux joueurs un peu moins bien cotés pour prendre les choses en main. Ce fut le cas à Washington.
Des fois, quand ça ne marche plus, il faut faire confiance aux joueurs un peu moins bien cotés pour prendre les choses en main. Ce fut le cas à Washington.
Montréal joue de manière bien positive, mais ne finit que par faire le minimum requis pour s’imposer face à Miami. Et c’est passé bien près de finir autrement.
Sacrilège! Il y a eu main dans la surface à la 92e minute au New Jersey! Oui, mais ce n’est pas aussi simple que ça en a l’air, et Emil Archambault est là pour nous le rappeler.
Montréal tombe à plat au New Jersey, coincé dans un creux de vague un peu plus profond qu’anticipé. La fatigue mentale est apparente.
Toute bonne chose a une fin. Surtout quand on se présente chez un ténor sans avoir eu le temps de travailler pour préparer le match. Montréal n’a pas été mauvais, mais a trop fait d’erreurs bêtes pour espérer mieux.
Deux de suite contre Toronto, histoire de célébrer l’histoire du club et rappeler la domination des années D2. Autre victoire méritée, bien que contre un adversaire mal en point. Montréal grandit.
Montréal continue sur sa belle et positive lancée. Ça joue bien, beaucoup mieux qu’il y a quelques semaines et l’équipe grimpe lentement mais sûrement au classement. Sourions.
Le printemps est bien installé, Montréal renaît, verdit, pousse et grandit. Du jeu cohérent, des intentions claires, du plaisir et une victoire méritée, sur la route. Montréal sait jouer au foot.
Second épisode de L’oeil de l’arbitre, qui plonge cette fois dans les dessous du processus décisionnel derrière l’expulsion de Rudy Camacho à Vancouver.
Enfin! Le CF Montréal est finalement réapparu après une longue disparition. Sur la pelouse du stade Saputo, on a pu revoir une équipe locale qui jouait au foot de manière coordonnée et réfléchie. Et ça faisait du bien.