Montréal-Chicago : Trois constats sur l’Impact
Montréal s’impose logiquement, comme l’équipe de haut de classement qu’elle est, mais avec nombre de ses cadres au repos. Autre signe que cette équipe est sur la bonne voie.
Montréal s’impose logiquement, comme l’équipe de haut de classement qu’elle est, mais avec nombre de ses cadres au repos. Autre signe que cette équipe est sur la bonne voie.
Prestation tout en contrôle, concentrée et pertinente, pour Montréal qui écarte facilement Chicago, même à dix pendant 45 minutes.
Un bel après-midi sous le soleil qui, franchement, n’était pas sans rappeler les belles et moins belles années en USL, ambiance incluse.
Une prestation médiocre qui vous inspire une panoplie de questions, en majorité centrées sur votre joueur favori, Samuel Piette. Mais des fois, il faut parler d’autre chose aussi.
Il y a de ces matchs, comme ça, qui te font apprécier le fait qu’il y a une longue pause tout de suite après. Vraiment.
À l’attaque, on parle de Mason Toye; en défense, des buts encaissés contre Chicago et de la construction de l’arrière.
L’Impact stoppe sa glissade et ramasse un point, même s’il aurait dû en ramasser trois. Mais ça fait du bien!
Le mercato, les options de Rémi Garde, le jeu de l’Impact, son match à Chicago… et les réprimandes de Zlatan.
Encore une fois, l’Impact cède trop facilement sur phase arrêtée. Encore une fois, ça manque de mordant derrière.
Les débuts réussis d’Omar Browne, la victoire de l’IMFC contre Chicago, Justin Trudeau et passes vers l’avant au menu d’un Coup Franc gourmand.