Montréal-Vancouver : Trois constats sur l’Impact
L’odeur de la pelouse fraîchement coupée, les lignes blanches découpant le tapis vert, le bleu océan des tribunes, malheureusement presque vides… L’Impact était de retour chez lui, au stade Saputo.
L’odeur de la pelouse fraîchement coupée, les lignes blanches découpant le tapis vert, le bleu océan des tribunes, malheureusement presque vides… L’Impact était de retour chez lui, au stade Saputo.
Une autre prestation typiquement montréalaise, qui soulève des questions, ou plutôt qui n’apporte pas de réponses aux questions déjà maintes fois soulevées.
L’Impact s’impose en offrant une prestation un peu plus convaincante, mais face à un DC United en mode préparatoire.
Parfois, on rate son match, parfois on fait ce qu’on peut. Si le match contre New England était dans la première catégorie, celui contre Toronto était plutôt dans la deuxième.
Reprise ratée par l’Impact, méconnaissable, horrible et franchement inquiétant. Trois constats et bien plus de doutes.
Au final, l’Impact ramène un point de Dallas, ce qui est très bien. Ce qui est également très bien, c’est que l’Impact n’a perdu aucun de ses quatre premiers matchs en 2020.
Si la Ligue des champions nous avait bien réchauffés, il faut tout de même bien avouer que le signal de départ en championnat était un événement.
Bien que le match retour s’annonçait compliqué pour Thierry Henry et ses hommes, des choix simples, mais efficaces, ont permis à l’Impact de mettre des bâtons dans les roues du vélo costaricain.
Salut maman. Tes gars sont allés jouer au Costa Rica. Je vais te parler du match, en trois constats, au cas où.
Les défenses de MLS sont heureuses : le grand Nacho s’en est retourné chez lui. Hommage.