Vancouver-Montréal : Trois constats sur l’Impact
Déclassés? Dominés? Du calme. Ce n’était franchement pas si mauvais que ça. En fait, à peu de choses près, ça aurait bien pu basculer dans l’autre camp. Mais la meilleure équipe a gagné.
Déclassés? Dominés? Du calme. Ce n’était franchement pas si mauvais que ça. En fait, à peu de choses près, ça aurait bien pu basculer dans l’autre camp. Mais la meilleure équipe a gagné.
Un match test, un laboratoire dans lequel Hernan Losada avait la possibilité de tenter des choses, de tester de nouveaux ingrédiants, de voir ce que les autres pouvaient faire face à une bonne équipe. Et ce fut hautement intéressant.
Des fois, quand ça ne marche plus, il faut faire confiance aux joueurs un peu moins bien cotés pour prendre les choses en main. Ce fut le cas à Washington.
Montréal joue de manière bien positive, mais ne finit que par faire le minimum requis pour s’imposer face à Miami. Et c’est passé bien près de finir autrement.
Montréal joue seulement une moitié de match mais l’emporte relativement aisément pour se tailler une place en finale, où Vancouver l’attendra de pied ferme. Une chance qu’Offor a réveillé tout le monde.
Montréal tombe à plat au New Jersey, coincé dans un creux de vague un peu plus profond qu’anticipé. La fatigue mentale est apparente.
Toute bonne chose a une fin. Surtout quand on se présente chez un ténor sans avoir eu le temps de travailler pour préparer le match. Montréal n’a pas été mauvais, mais a trop fait d’erreurs bêtes pour espérer mieux.
Deux de suite contre Toronto, histoire de célébrer l’histoire du club et rappeler la domination des années D2. Autre victoire méritée, bien que contre un adversaire mal en point. Montréal grandit.
Un Montréal solidaire, sérieux et appliqué fait tomber Toronto et met le cap sur la demi-finale du championnat canadien. Une prestation qui restera gravée dans les mémoires.
Montréal continue sur sa belle et positive lancée. Ça joue bien, beaucoup mieux qu’il y a quelques semaines et l’équipe grimpe lentement mais sûrement au classement. Sourions.